Chez Ours-en-peluche.fr, nous savons que nos clients sont des personnes qui se sentent concernées et qui cherchent activement des moyens de faire une différence dans le monde. Il y a tant de causes et de façons de faire la différence qu’il peut être difficile de trouver un point de départ.
Sabrina est une cliente de notre site qui a fait don de nos peluches aux patients d’un hôpital pour enfants du sud de la France. Nous sommes inspirés par son engagement à faire le bien dans le monde et nous avons voulu partager son histoire avec vous.
Le pouvoir d’un ours en peluche
Les dons de Sabrina ont été mûrement réfléchis, et elle a envisagé de s’associer à de nombreux fournisseurs différents pour ces dons. Elle est tombée sur notre site et a adoré l’aspect mignon et câlin de nos produits, ainsi que le grand choix d’ours en peluche que nous proposons ! Cependant, Sabrina a finalement choisi Ours-en-peluche.fr en raison de notre engagement envers les matériaux organiques et notre processus d’approvisionnement éthique.
Sabrina dit qu’elle connaît la valeur des produits biologiques et hypoallergéniques parce que sa propre famille est aux prises avec toute une gamme de sensibilités. Les enfants hospitalisés étant l’une des populations les plus sensibles, elle sait que ces ours en peluche biologiques et non toxiques peuvent vraiment faire la différence.
“Si un seul enfant peut bénéficier d’un animal en peluche, cela en vaut la peine”, a-t-elle déclaré.
En effet, l’hôpital a rapporté de nombreux cas d’enfants et d’adolescents qui ont été réconfortés par les ours que Sabrina a donnés. Un patient a confié au personnel de l’hôpital que son chien, qui était une grande source de réconfort à la maison, lui manquait. Le personnel hospitalier a donné au patient l’un des animaux en peluche que Sabrina avait donnés.
“Nous lui avons expliqué que même s’il ne remplaçait certainement pas son chien adoré, il pouvait peut-être le remplacer jusqu’à ce qu’il puisse rentrer chez lui. Ils ont adhéré à cette idée et ont utilisé la peluche comme un outil de réconfort tout au long de leur séjour”, explique un membre du personnel de l’hôpital.
Une donation de nounours vieille de 18 ans
La décision de Sabrina de faire ces dons d’ours en peluche a été longue à prendre. Sabrina a grandi dans une famille où donner aux autres faisait partie intégrante de la vie. Dès leur plus jeune âge, le père de Sabrina, Laurent, a appris à ses enfants à pratiquer la Tzedakah, un concept juif de don de charité. Qu’il s’agisse de donner des draps neufs à la crèche de la synagogue ou d’acheter des animaux en peluche à moitié prix pour les donner à l’hôpital local pour enfants, Sabrina a grandi avec la volonté d’aider les autres.
“La générosité est vraiment inscrite dans mon ADN. Je pense sincèrement que je l’ai hérité de mon père”, nous a-t-elle confié. Après le décès de son père, Sabrina a su qu’elle voulait trouver un moyen d’honorer sa mémoire par la même pratique du don désintéressé qui lui était si chère.
Au printemps 2021, Sabrina a vu sur Facebook un message d’un enseignant de sa synagogue qui organisait des cours de Zoom. Dans ce message, l’enseignant racontait qu’une assistante sociale de l’hôpital pour enfants, qui était une enseignante invitée, avait raconté à la classe comment elle avait été témoin des effets apaisants des ours en peluche sur les enfants et les adolescents qui subissent un traitement médical. L’assistante sociale a également mentionné que les hôpitaux ont du mal à obtenir suffisamment de dons de nounours en peluche tout au long de l’année, car la plupart des dons sont concentrés à la fin de l’année.
Cela répondait à une question qui était venue à l’esprit de Sabrina presque dix-huit ans auparavant…
Lorsque la fille de Sabrina n’avait que deux ans, elle a été admise à l’hôpital après avoir souffert de symptômes effrayants. Sabrina et son mari ont passé les vacances à l’hôpital, suivant avec angoisse le traitement de leur fille. Sabrina se souvient d’une abondance de jouets distribués aux enfants autour de l’hôpital. Elle a été touchée par l’offre d’un jouet spécial pour sa fille. Sabrina se souvient avoir mentionné à sa famille qu’elle se demandait si le nombre de jouets et d’ours en peluche était maintenu toute l’année ou s’il y avait une pénurie avant et après les fêtes.
L’assistante sociale ayant finalement répondu à sa question, une graine qui avait été plantée dans la tête de Sabrina plus de dix-huit ans auparavant s’est épanouie en un plan. Sabrina a été inspirée en regardant la classe de la synagogue collecter plus de 600 ours pour les donner à différentes organisations caritatives.
Elle a donc décidé de faire des dons mensuels d’ours en peluche à l’hôpital local pour enfants en l’honneur de son défunt père. Elle est heureuse que tous ces éléments aient été réunis et sait que son père serait ravi que ces dons de jouets soient faits en son honneur…